Orange Street
bio in english coming soon!
Septembre 1997
Naissance du groupe Orange Street dans les studios du Nautilus, à Jouy-le Moutier (95). Cinq musiciens (basse, batterie, guitare, percussions, piano / chant) s'y retrouvent pour continuer à composer.
Novembre 1997
Arrivée du premier cuivre (trombone), appuyant l'intégration du rocksteady et une incursion inédite vers le ska.
Janvier 1998
La récente maquette du groupe le place parmi les "Découvertes du Val d'Oise" de l'ADIAM 95 (compil Amplitudes 95 de 1998).
Juin 1998
Premier concert de promotion en showcase à la FNAC Cergy (95), puis en 1ère partie de K2R Riddim sur la grande scène de Jouy-le-Moutier (95).
Eté - hiver 98
Arrivée d'une trompette, d'un sax alto / flûte, et changement de guitariste. Remaniement et enrichissement du répertoire à Neuville-sur-Oise (95) et lors de concerts dans des pubs ou en soirées étudiantes.
Orange Street décide de se produire à une échelle nationale, devant un public plus vaste, plus exigeant et plus connaisseur.
Mars 1999
1ère date en province au Rex de Briouze (61) en 1ère partie de Western Special et des 100 grammes de têtes.
Juin 1999
Le rythme des concerts s'accélère. Le groupe connaît une certaine période de stabilité,. Il gagne en maturité et se produit plus sérieusement afin de compenser ses carences scéniques.
Août 1999
Neuf dates constituent la première tournée d'Orange Street aussi bien dans des cafés-concerts, des salles ou des festivals un peu partout en France.
Les mois suivants accumulent suffisamment de concerts pour que le premier album autoproduit puisse enfin voir le jour.
Février 2000
Le groupe enregistre son 1er disque, Step In, en trois semaines aux studios Cayenne (94). Tripsichord, qui propose également un contrat de licence sous Small Axe, est choisi pour le distribuer.
Les répétitions ont désormais lieu dans l'ancienne caserne Bossut de Pontoise (95) (le plus grand pôle de pratiques artistiques d'IDF de 2000 à Dec. 2003).
18 Juillet 2000
L'album sort à échelle nationale. Malgré une période estivale généralement défavorable, il se place assez vite en bonne position des ventes.
Août 2000
Seconde tournée de Toulouse à Brest.
Octobre 2000
Sortie de deux compilations pour lesquelles le groupe a enregistré trois inédits fin août.
Fin 2000 - début 2001
Le groupe s'investit de façon intense dans le renouvellement de son répertoire.
Son statut est en passe de se professionnaliser, mais la difficulté de conjuguer musique et emploi s'accentue et compromet l'avenir d'Orange Street. La plupart de ses membres tente de s'affranchir des contraintes extra-musicales interdisant les concerts en semaine et un investissement adéquat.
Avril 2001
Le chanteur, partagé, part pour ne pas freiner l'expansion du groupe. Le préjudice se fait principalement sentir dans le ralentissement du travail scénique amorcé plus tôt, ainsi que la progression du répertoire, et provoque le départ du trompettiste.
La nouvelle formation redouble d'efforts. Ses premiers concerts se font un peu hésitants, mais le son conserve son identité.
Eté 2001
Le groupe connaît un nouveau souffle avec la tournée de promotion de Cayenne Dub Session, le LP dub issu de Step In sorti le 8 juin, et un nouveau trompettiste.
Septembre 2001
Le parcours musical du groupe doit connaître un véritable tournant, quatre ans après sa naissance. Un nouvel album est annoncé, qui doit répondre aux ambitions et aux attentes de tous, public comme professionnels.
Novembre 2001 - janvier 2002
Sa maquette est mise en chantier et comporte de nombreux morceaux inédits, tant sur compilations que sur scène. Quelques dates marquent également le début de la collaboration du groupe avec " Oh Lord productions " qui planifie depuis peu ses concerts.
Mars - avril 2002
Enregistrement, mixage et mastering de Shakin' Up, nouvel album d'Orange Street, au studio 4, nom donné au local de répétition aménagé en studio d'enregistrement d'après l'emplacement du bloc à la caserne.
Printemps 2002
Résidence à Gap (une semaine). Elle expérimente de nombreux domaines (musicaux, scéniques, techniques, etc.), et Orange Street crée son premier véritable spectacle.
Juillet 2002
Sortie nationale de Shakin' Up, retardée par le choix d'un nouveau distributeur : 2 Good
Mai-septembre 2002
Tournée promotionnelle du nouvel album.
Quelques musiciens deviennent intermittents, bientôt suivis par d'autres. Le groupe continue sa professionnalisation.
Automne 2002 - Printemps 2003
Le groupe est labellisé " jeune talent " par la FNAC. De nombreux showcases s'en suivent à travers la France.
Mars 2003
Résidence à l'EMB (95), préparatoire à l'enregistrement d'un concert exceptionnel en vue de la sortie du premier live d'Orange Street. De nouveaux morceaux sont créés et le spectacle est remanié.
Enregistrement du concert donné à l'EMB à guichet fermé. Le répertoire est essentiellement ska, correspondant à la thématique du projet en cours, mais présente également les nouveaux morceaux.
Départ du guitariste, désireux de reprendre ses études. Son remplaçant, habitué de la scène et des studios, est aussitôt désigné et mis à contribution.
Printemps et été 2003
Le groupe découvre l'Italie et retourne en Suisse, tourne aux quatre coins de la France.
Premiers signes de fatigue du Fiat Ducato !
Tripsichord est à nouveau distributeur exclusif des albums d'Orange Street.
Octobre 2003
Sortie de One Live, One Ska !, incluant quelques vidéos tournées lors du concert.
Automne 2003
Préparatifs de déménagement consécutifs à l'annonce de la fermeture de la caserne Bossut, prévue pour la fin de l'année.
Recherche d'un nouveau local pour héberger les répétitions et la partie administrative du groupe. Des accords sont passés avec l'Observatoire de Cergy Saint-Christophe concernant l'administratif.
Début d'une longue série de déménagements en alternance avec les concerts.
Hiver 2004
Un hangar vide est repéré à Auvers-sur-Oise, qui accueillera les répétitions, après réhabilitation.
Les travaux mobilisent une partie du groupe, sous la conduite des membres expérimentés en la matière, et prévoit des studios pour deux autres groupes.
Eté 2004
Inauguration des nouveaux locaux, en compagnie des deux autres groupes issus de la Caserne qui les partageront : Nordside et Kafassala.
Tripsichord n'est plus, tout comme le Fiat Ducato. Orange Street perd deux soutiens des premiers jours.
Le groupe se penche sur son avenir, à savoir le nouvel album à paraître.
Automne - hiver 2004
Un projet ambitieux voit le jour, exacerbant la démarche et l'expressivité du groupe déjà présentes dans les précédentes productions, entièrement dévoué à l'histoire de la musique jamaïcaine. Il est ratifié à l'unanimité, malgré son ampleur, et l'absence de distributeur et de financeurs.
Printemps 2005
Le projet discographique connaît une impulsion et un effet inattendus, inspirés des conférences données par le président-bassiste devant les scolaires. Le groupe soumet en effet un projet de spectacle pédagogique sur le thème de la musique jamaïcaine aux instances val-d'oisiennes et franciliennes.
Enregistrement des premières maquettes ainsi que des premiers titres du prochain album en vue de sortir un maxi destiné aux professionnels.
Eté 2005
Travaux au studio Polyson, qui supervise, accueille et enregistre les albums depuis Shakin' Up, et dont les tenanciers ne sont autres que les ingénieurs du son d'Orange Street.
Répétitions et enregistrement de titres en présence de nombreux invités. La nature de l'album se précise, et s'il s'agit comme toujours d'encenser la culture musicale jamaïcaine, il s'agit cette fois de le bien faire, de façon plus exhaustive, en reculant et en avançant les bornes précédemment établies, et en affinant compositions et sonorités selon les canons des différentes époques.
Départ du saxophoniste et du guitariste, postes aussitôt occupés par un altiste également harmoniciste, et un invité, spécialiste es Rocksteady puisé parmi The Elements, également Side-project du batteur.
Réponses favorables concernant le spectacle pédagogique, données par l'ADIAM 78 et les Jeunesses Musicales de France (JMF). Les réunions vont bon train !
Automne 2005
Poursuite des enregistrements et des essais acoustiques hors studio, notamment à la Mezzanine de Pierrelaye. Le concept de l'album est défini comme un triple ou un double CD répartis en trois pochettes, dans un carton façon " Trojan Box " mais exclusivement serti de compositions. Le thème en sera la piraterie liée à la cartographie ancienne.
Départ du trompettiste.
Intégration d'un second chanteur, provenant lui aussi de The Elements, pour multiplier les vocaux et tenir le chant principal du projet pédagogique, projet réunissant six membres d'Orange Street et deux de K2R Riddim.
La première résidence de Reggae Face B, nom provisoire du projet, se tient au Sax, à Achères. Elle voit la création du spectacle autour des thèmes, styles et chansons retenus lors des précédentes réunions.
Hiver 2005
Départ (provisoire ?) du clavier et du tromboniste, l'un pour un stage et l'autre pour un groupe. Ils continuent néanmoins de participer, le premier à la gestion du groupe et le second à ses activités non scéniques, au projet pédagogique désormais intitulé Odyssée Jamaïque.
Les échos et retours sont favorables, et le spectacle devient un point fort et novateur dans la programmation des JMF pour la saison 2006-2007. Il se fourbit de bruitages, de décor et de vidéo, et s'améliore au fil des résidences.
Le disque souffre un peu de cette activité, mais tend tout de même vers son achèvement. Il s'intitulera Pirates & Treasures et tiendra sur deux CD complets. Un trompettiste est recruté pour compléter la section et les pistes restantes, et pour remplacer le trombone sur scène. La section demeure donc un duo.
Sept compositions issues du futur album sont sélectionnées, et forment un maxi portant le nom du projet, destiné aux scolaires assistant au spectacle.
Printemps 2006
L'Odyssée Jamaïque est finalisée et se joue devant tous publics, dont la réaction est unanime et positive. Le bassiste tient de nouvelles conférences dans un contexte plus didactique, mais illustrées live par une formation minimaliste, soit la moitié du groupe. La démarche d'Orange Street est transcendée dans ces diverses activités, qui freinent néanmoins la production du nouvel album.
Gestion et financement s'avèrent difficiles, mais les derniers titres sont enfin achevés, et l'ensemble couvre près d'un siècle de musique jamaïcaine, de l'ère du tambour à celle de l'électronique, époque par époque, style par style, présentant aussi diverses variations majeures.
Eté 2006
Mixage et mastering devront répondre à des impératifs de qualité et de perfectionnisme, sans toutefois négliger celui du temps, en vue d'une diffusion dès la rentrée de Pirates & Treasures ; car celui-ci se veut la synthèse de l'esprit et de la démarche d'un groupe qui occupe, depuis près de dix ans, une position stratégique dans le paysage musical français dédié à la musique jamaïcaine.
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